Ça faisait un petit moment que je souhaitais découvrir cette saga, d'autant plus que ce premier tome se trouvait dans ma pile à lire depuis plusieurs mois et pourtant je n'avais jamais osé le lire.
Effectivement, ayant eu énormément de retour mitigé, j'étais sceptique quant à cette lecture. Et malheureusement, je n'ai pas totalement réussi à adhérer à ce premier tome. Nous suivons Avery, une lycéenne qui, en apparence, est une jeune fille banale. Mais en réalité, sa vie est animée par les mandats de travail que sa mère reçoit, les obligeant à déménager de façon régulière. Jusqu'à présent, l'adolescente parvenait à éviter tout attachement avec les autres élèves, mais lorsqu'elle rencontre Jack, le mystérieux nouveau, elle met de côté tous ses principes et accepte de l'accompagner au bal du lycée. Alors qu'elle s'apprête à passer cette soirée en sa compagnie, elle se retrouve, bien malgré elle, plonger au cœur d'une incroyable histoire de famille, qui pourrait bien être la sienne. Quand on lit la quatrième de couverture, il est dit que, cette nouvelle trilogie est à la croisée entre La Sélection et de Da Vinci Code. Je peux concevoir cette deuxième référence, mais la première, je ne vois vraiment pas de point commun entre ces deux sagas. Alors forcément, j'ai été un peu déstabilisée en débutant ma lecture. Je pensais retrouver un univers semblable aux romans de Kiera Cass, et c'est peut-être un peu pour ça que je voulais tant découvrir ce premier tome, mais c'est tout autre chose que j'ai trouvé. En soit, l'idée est vraiment intéressante et intrigante. Il y a un très bon fil conducteur et l'auteure maîtrise à la perfection son univers qui se trouve être très riche. Malheureusement, j'ai trouvé le roman assez long a démarré. Pendant une très grande partie, je me suis ennuyée. Le temps que toute l'intrigue se mette en place, on tourne vraiment en rond et c'est le rythme du récit qui en prend un coup. J'ai failli stopper ma lecture à ce moment-là. Je n'avais même pas lu une centaine de pages. Par chance, j'ai tenu bon, parce que la suite en vaut vraiment la peine ! Une fois que la Quête débute réellement pour nos deux héros, l'histoire devient entraînante et on commence, enfin, à se poser des questions. Les cent dernières pages sont, pour moi, parfaites. Les actions s'enchaînent et on entre, une bonne fois pour toute, dans le vif du sujet. D'autant plus que la fin promet une très bonne suite. Je n'ai pas eu d'attache particulière avec les personnages, que j'ai vraiment trouvé plats et antipathiques. Ils ne sont pas assez approfondis et tombent assez facilement dans les clichés. J'imagine que l'auteure à préféré développer son intrigue et c'est bien dommage. Je ne sais pas exactement comment les relations entre les personnages vont évoluer, mais j'ai l'intime conviction qu'un triangle amoureux va faire son apparition. Mais j'espère pouvoir me tromper. La plume de l'auteure m'a, dans un premier temps, déstabilisée et je ne sais quoi en penser. Je l'ai trouvé trop simpliste et vraiment orientée vers la jeunesse, surtout au niveau des dialogues. Les personnages étant des adolescents, celle-ci est sans doute justifiée. Puis, finalement, sur la fin, j'étais tellement prise par l'action que tout ce qui me dérangeait au début s'est évaporé. En conclusion, il s'agit d'une lecture en demie teinte, mais qui promet une suite bien meilleure. Malgré un début lent et plusieurs petits défauts, Maggie Hall a réussi son coup et nous entraîne dans une chasse au trésor, pleines de mystères et d'énigmes, aux quatre coins du monde.
1 Commentaire
/!\ Livre déconseillé pour les moins de 18 ans. Âmes sensibles s'abstenir.
Je suis un peu mitigée suite à cette lecture. Le résumé me donnait envie, je savais plus ou moins à quoi m'attendre et j'étais consciente de m'embarquer dans un thriller des plus sombres, mais j'étais loin d'imaginer ce qui m'attendait réellement. Daniel Saul, divorcé, père d'un adolescent de 16 ans, est propriétaire d'une grande compagnie immobilière. Un de ses derniers projets : racheter des églises désertées pour les transformer en loft avant de les revendre. Il retrouve une connaissance du collège, Martin Charron. Celui-ci investit dans un de ses projets et incite Daniel de rejoindre un site internet illégal réservé à une élite – Hell.com, qui octroie à ses membres tous les droits que ce soit le sexe, les paris, la drogue ou la violence. Hell.com est un roman pour le moins complexe, mais dont l'intrigue est parfaitement bien ficelée et où les événements s'enchaînent sans nous montrer la moindre petite faiblesse. Je n'ai noté aucune longueur, à part peut-être pour la première partie qui démarre doucement mais nous permet ainsi de poser le contexte et de faire monter le suspens. J'ai apprécié la trame et toute la machination qui se met en place. Je ne pourrais pas enlever le très bon thriller que nous offre Patrick Senécal dans cette œuvre, mais il ne peut, malheureusement, être lu par tous. Comme je le signalais plus haut, certaines scènes peuvent vraiment choquer les plus jeunes ou moins jeunes. L'univers sado-maso et les violences que peuvent commettre les Hommes sur les Hommes déstabilisent assez facilement et sont susceptibles d'entraver la lecture. J'ai hésité plus d'une fois avant de poursuivre ma lecture. Il m'était bien trop difficile de faire abstraction à tout cet ''enfer'' et à l'immoralité bien trop présente dans ce roman. Dans le fond, j'ai beaucoup aimé le dénouement et le fond de l'histoire, mais le côté trop noir du récit m'a laissé perplexe et m'a plutôt mis mal à l'aise. Même si ce livre n'est pas fait pour moi, l'auteur à une écriture qui vaut le détour. Fluidité, simplicité et efficacité sont de la partie. Pour conclure, ce thriller est terrifiant et glauque à souhait. L’œuvre ne manque pas d'originalité et offre une fin à couper le souffle.
Je suis un peu novice en matière de thriller ou de roman policier, de ce fait, c'était la première fois que je lisais un livre de Peter James. Le résumé m'avait intrigué et comme j'essaie de lire un peu de tous les genres et que j'apprécie de plus en plus celui-ci, je me suis dit pourquoi pas ? Je suis un peu mitigée, mais cette lecture reste agréable.
Red Westwood est une jeune femme ayant subi des violences conjugales et ne faisant que très peu confiance aux hommes et ce même son nouveau petit ami, le docteur Karl Murphy. Alors qu'elle s'imagine que celui-ci s'amuse avec elle le corps du docteur est retrouvé calciné, une lettre d’adieu posée sur le siège de sa voiture. Red refuse de croire au suicide et l'inspecteur Roy Grace non plus. Mais elle est loin de s'imaginer que Bryce Laurent, son ancien petit ami est derrière ce meurtre et compte bien rester ensemble, qu'elle le veuille ou non, pour l'éternité. Pour l'éternité est un thriller très bien ficelé et chaque chapitre nous apporte un point de vue différent. Tantôt celui de Red, tantôt celui de Bryce ou de Roy. Ces différents points de vues apportent un gros point positif au récit puisqu'ils nous permettent de découvrir les personnages en profondeur et surtout de les cerner. Le fait que les chapitres soient plutôt courts donnent un rythme efficace malgré des passages qui traînaient assez en longueur et qui, des fois, me donnait envie de sauter des pages. Toutefois, les actions s'enchaînent plutôt bien. Pour les personnages, je n'ai pas eu d'attaches particulières, ne serait-ce, peut-être, pour l'inspecteur qui m'a charmé par son histoire, son passé et son caractère. En revanche, Red, a eu tendance à m'énerver. Bien qu'elle se sente menacer, elle refuse les conseils les plus importants, va-t-on dire, des policiers et préfère, la plupart du temps, n'en faire qu'à sa tête. A croire qu'elle est plus apte qu'eux à faire leur boulot. J'avais l'impression que par ses agissements, elle cherchait un peu à ce qui lui arrive des problèmes… L'écriture est très agréable même s'il manque un peu de fluidité dans certains passages. Le côté un peu vulgaire de l'auteur ou grande gueule, m'a un peu dérangé, mais comme c'est dans la continuité du caractère des personnages, c'est amplement justifié. Malheureusement, avec moi, ça n'a pas totalement fonctionné. En conclusion, j'attendais peut-être un peu trop de ce roman et la déception a été un peu plus grande que prévu. Mais ça reste une lecture agréable, pleine d'action et dont l'intrigue est particulièrement bien ficelée.Je relirais avec plaisir un des autres romans de cet auteur afin de me reforger un nouvel avis sur ces récits.
Je n'avais jamais lu de livre d'Hervé Commère et pour cause, je ne suis pas spécialement une adepte des thrillers/polars. Cependant, en lisant la quatrième de couverture, je me suis laissée séduire et je ne regrette absolument pas. Bien que cette première lecture ne soit pas un coup de cœur, c'est une très belle découverte et je pense très prochaine acquérir ses autres romans.
Dès les premières pages du roman, on est plongé dans cette histoire assez terrible, entre entre les viols et l’accident de voiture, et c'est à peine si on a le temps de reprendre notre souffle. L'intrigue est parfaitement bien menée tout le long de l'histoire, malgré, parfois, quelques petites longueurs. Les événements s'enchaînent à la perfection. Toutefois, j'ai été un peu déçue, mais aussi surprise, par la tournure que le suspens a pu prendre. Il faut dire que je ne m'attendais pas spécialement à ça. Concernant les personnages, je n'ai pas eu de coup de cœur, ni d'attache particulière, mais on pourrait noter qu'Hervé Commère à réussit à les rendre très réalistes. Ils mènent une vie comme n'importe qui pourrait la mener. On sent les personnages assez proches de nous, peut-être même trop proche. C'est à la fois déstabilisant et remarquable. L'auteur à une plume très fluide et agréable à lire. La narration de ''Ce qu'il nous faut c'est un mort'' est assez particulière. J'avais l'impression d'être dans un reportage, avec une sorte de voix off pour m'expliquer chaques détails. Le fait que le narrateur soit omniprésent est sans doute ce qui m'a le plus séduite. Pour conclure je dirais que ce roman est un très bon polar et que je peux que conseiller à tous les amateurs de ce genre !
J'attendais énormément de ce roman, peut-être grâce à toutes les bonnes critiques que j'ai pu lire à son sujet et pourtant, je suis déçue par cette lecture.
Perdue et retrouvée est l'histoire d'une famille détruite depuis plus de treize ans par l’enlèvement d'une de leurs filles lorsque du jour au lendemain, celle-ci refait son apparition. La famille doit alors apprendre à se reconstruire et pourtant la fin de ce cauchemar pourrait bien en cacher un autre. L'histoire a tout du thriller captivant, mais je ne l'ai pas trouvé assez approfondis et voir même trop simpliste. L'auteure se concentre d'avantage sur le côté médiatique que sur l'enquête des policiers et c'est là un des gros points faibles avec la prévisibilité de l'histoire. En ouvrant ce roman, j'en connaissais déjà son issu. Je n'ai donc pas été surprise en lisant les dernières pages et c'est quelque chose qui, pour moi, est important. J'ai besoin d'être étonnée quand je lis un livre et malheureusement, je n'ai pas eu ce petit plaisir. En dehors de ces petits bémols, l'histoire est tout de même addictive. Une part de moi ne voulait pas décrocher de cette lecture avant de l'avoir terminé. Je n'ai pas eu d'attaches au niveau des personnages. Faith, l'héroïne et aussi la narratrice de l'histoire, est de mon point de vue trop effacée. Laurel, sa sœur retrouvée est mit sur un piédestal ce qui finit par être tout aussi insupportable. Néanmoins, la relation entre ces deux sœurs reste touchante et agréable à lire. Les personnages secondaires, ne sont pas spécialement mieux. Assez clichés et superficiels, j'ai eu autant de mal qu'avec nos deux principaux. Pour ce qui est de l'écriture de l'auteure, je n'ai rien à redire. Cat Clarke à une plume très fluide et addictive bien qu'un peu simple à mon goût, mais cette simplicité en fait aussi une force. Pour conclure, malgré le fait que ce roman soit très loin de mes attentes, j'ai tout de même apprécié cette lecture et je pense me laisser séduire par d'autre roman de cette auteure. |
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